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C'est grâce à toutes ses qualités qu'en 1976 le docteur Marc BOUFFARD-VERCELLI a mené à bien l'oeuvre dont il avait toujours rêvé en créant ce centre qui est aujourd'hui menacé, au mieux de délocalisation au pire de suppression de certaines spécificités de cet établissement, dont font partie les 4 chambres de post-réanimation précitées. Il est décédé en 1995.
Cet établissement de pointe est reconnu en France et en Europe dans le domaine de la rééducation avec une section rééducation en post-réanimation qui s'adresse à des patients souvent sous assistance respiratoire.
Centre de rééducation BOUFFARD-VERCELLI de Cerbère (66)
C'est grâce à toutes ses qualités qu'en 1976 le docteur Marc BOUFFARD-VERCELLI a mené à bien l'oeuvre dont il avait toujours rêvé en créant ce centre qui est aujourd'hui menacé, au mieux de délocalisation au pire de suppression de certaines spécificités de cet établissement, dont font partie les 4 chambres de post-réanimation précitées. Il est décédé en 1995.
Cet établissement de pointe est reconnu en France et en Europe dans le domaine de la rééducation avec une section rééducation en post-réanimation qui s'adresse à des patients souvent sous assistance respiratoire.
Seul établissement à prendre des patients si lourds, il a vu venir à lui une clientèle de toute la région, de tout l'hexagone et même de l'étranger.
Les chambres de post-réanimation existent encore à Peyrefite, il n'y en a que 4. Elles sont les seules de la région et de tout le sud de la France.
Pour le nord, après la suppression de celles de Berck-sur-mer, seule Garches en région Ile de France présente une même entité. 
Un accident, une maladie ou une rupture d'anévrisme etc... n'arrive pas qu'aux autres. C'est arrivé à notre fils, à d' autres familles et cela arrive tous les jours. Tous ont dû attendre pour obtenir une place.
De plus, la ruralité est menacée au profit des très grandes agglomérations.
Un accident, une maladie ou une rupture d'anévrisme etc... n'arrive pas qu'aux autres. C'est arrivé à notre fils, à d' autres familles et cela arrive tous les jours. Tous ont dû attendre pour obtenir une place.
De plus, la ruralité est menacée au profit des très grandes agglomérations.
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